Budding-Writer

Années Lycée... Rencontre...

Dimanche 9 mai 2010 à 18:52

  

Je le vois, moi Lily quinze ans. Je le regarde, lui Gabriel seize ans. Oups! Il me regarde !, Je détourne mes yeux bleus, mon cœur bat la chamade, j’ai l’impression de rêver ; Je jette un coup d’œil, il me fixe, je me sens gênée ; ses yeux sont couleur ambre, j’adore. Je commence à rougir, tout le préau va s’en rendre compte ; je fuis me réfugier dans les toilettes, je commence à pleurer, pleurer parce que je suis nerveuse, pleurer de joie parce qu’il m’a regardé ; il faut que je le raconte à quelqu’un, mais à qui ?, Tous mes amis sont partis en stage en Angleterre. Je décide donc qu’il faudra l’écrire dans mon journal intime, mais pas maintenant, je suis trop nerveuse, paniquée, timide, excitée et heureuse. Il faut que j’arrive à me calmer.

 

         La cloche sonne, je dois retourner en cours, j’ai maths, j’aime bien, mais vivement la fin du cours, en attendant je pense à lui, toute en dessinant sur ma feuille.

         La sonnerie retentit, seize heure, aujourd’hui il fait beau, une brise fraîche vient emmêler mes cheveux châtains clairs, j’ai l’impression de me sentir légère. Quelques minutes plus tard, mon portable vibre, un message, je ne connais pas l’expéditeur mais je suis curieuse, je le lis :

-         Continue, j’adore te regarder chaque jour.

C’est lui, c’est sûr, enfin j’espère, je ne sais plus. Je préfère confirmer mon hypothèse, je lui demande :

-         Qui est-ce ?

« L’inconnu », me répond :

-         Quelqu’un que tu regardes longtemps, ce qui ne lui déplait pas et qui voudrait te rencontrer.

En réalisant chaque mot du texto, je réalise enfin qui est ce fameux inconnu, mais naïve comme je suis, je doute :

-         D’accord, à une seule condition.

Il me répondit :

-         Laquelle ?!

Je lui dis avec ma grande sincérité :

-         que tu continues de me regarder.

Il me répondit comme si il le savait déjà :

-         Pas de problème ! je ne vais pas m’en priver ! 

Et là, premier blanc de cette merveilleuse conversation.

La nuit commence à tomber. Tout d’un coup, je me surprends à réfléchir à cette conversation, elle puis voilà le premier doute « Est-ce vraiment vrai ? » ; et Lily ! sois confiante ! me soliloquai-je. Une minute trente-quatre plus tard, le garçon me renvoie un message :

-         Envie de te voir, de te connaître…

Je lis, relis et re relis le message, ce n’est pas possible qu’il ait dit ça !, commence peut-il s’intéresser à une fille comme moi ?, je ne comprends vraiment pas !, mais je lui réponds :

-         Euh… Oui, mais quand, comment, et où ?

Avec simplicité et rapidité il me réponds :

-         et bien demain, a seize heure, sous le saule pleureur, derrière le bâtiment labo.

Je lui dis :

-         OK, à demain alors !

Le lendemain je ne le vis pas, aucun Inconnu aux environs ; plus le temps passe, plus le stress monte, quinze heure cinquante deux, le cours de chimie va bientôt toucher à sa fin, le temps passe lentement, quinze heure cinquante quatre, quinze heure cinquante cinq, quinze heure cinquante six. Je commence à ranger mes affaires, je mets mon portable dans la poche droite de mon pantalon et ma trousse, mon cahier,et mon livre dans mon sac. J’ai peur, comment va-t-il réagir en me voyant ?, il sera sûrement effrayé.

Voilà, j’y suis,il est seize heure six, je suis passée aux toilettes et aux casiers poser mon sac ; je l’attends, il n’est toujours pas là.

Le temps passe lentement encore une fois, seize heure quinze, je ne veux pas partir, mais je dois y aller. 

-         Salut Lily, cette seconde qui me reluque.

J’entends, mais je ne réponds pas, je sais que c’est lui, il est venu, il est là, pour moi. Je ne veux pas le regarder, sinon il risque de me déstabiliser. Bien que je ne veuille pas, mes yeux sont attirés comme deux aimants, et puis de toute façon ce proverbe dit vrai « Le seul moyen de se délivrer de la tentation, c’est d’y céder. »

         Je me lève subtilement avec une élégance et une délicatesse exceptionnelles pour une fille maladroite comme moi. J’ai peur de me retourner, alors je lui réponds :

-         Et toi, mon soi-disant inconnu qui a remarqué que je le regardais, Gabriel.

Sans me répondre il prend ma main droite et la tire légèrement, juste assez pour m’obliger à me retourner. Je panique et je ferme les yeux, J’attends quelques secondes, le temps de me calmer, puis j’ouvre mes paupières que j’ai soigneusement maquillées ce matin, pour lui. Nous ne sommes qu’a quelques centimètres l’un de l’autre, lui, me regarde comme si j’étais la plus belle chose qu’il n’ait jamais vue, moi je le regarde droit dans les yeux, en les détournant de temps à autre.

Et puis voilà que je pense à lui, je regarde chaque trait de son visage, en partant par sa bouche, ses joues, son nez, et enfin ses yeux que j’avais déjà remarqués auparavant, couleur ambre, une teinte légèrement orangée qui se décline en marron sur le bord des yeux, j’aime. Il est grand, presque une tête de plus que moi, ses cheveux sont mi-long au niveau des oreilles, ils sont d’une couleur qui va vraiment bien avec ses yeux, ils sont brun. Je réalise qu’il a la peau comme bronzée, presque métis, sûrement d’origine Italienne. Je reviens à la réalité, il me regarde toujours avec cet air d’être une perle rare.

Et la mon rêve vire au cauchemar, mes jambes tremblent, je vais m’effondrer devant ses yeux « Chasser le naturel, il revient au galop ». Je vois le sol se rapprocher de plus en plus, je ferme les yeux, et à cet instant je sens deux mains tièdes se placer sur mes hanches pour me retenir. 

Il me relève calmement, sans aucun problème, je me retrouve face à lui, il me regarde avec un sourire aux lèvres qui pourrait me faire tomber. Je me rend compte que mon cœur s’est calmé, car il m’a rassuré, car il était la pour me retenir. 

Tout d’un coup, ses lèvres se rapproche des miennes, sans réaliser je me laisse aller ; les siennes et puis les miennes sont comme liées ; j’ai l’impression de brûler, ça me fait presque mal, pourtant je voudrais que ce moment dure une éternité. 

 

Je comprends enfin que c’est lui, c’est l’unique, L’irremplaçable et l’authentique auteur de mon bonheur.


http://budding-writer.cowblog.fr/images/romeoetjuliette.jpg

J'espère que ça vous a plu, je sais que c'est court mais en même temps pour un première fiction...
voila j'éssai de mettre de nouveau article rapidement !!
Budding-Writer.
 

Dimanche 9 mai 2010 à 20:49

 http://budding-writer.cowblog.fr/images/page0blogentry151.pngCoucou !!, je me présente, j’ai quinze ans et demi, je suis lycéenne en complexe agricole ,

 Mais aussi écrivain en herbe ( d’où « Budding-Writer ») à mes heures perdue, j’ai été bercé dans les arts depuis petite grâce a ma famille qui est pour la plupart musicienne (ma mère est passionnée d’architecture et de peinture, mon père est musicien/compositeur), et d’un autre côté par mon frère de cœur qui est batteur et qui est issu d’une famille d’artiste.

 Bref, sur mon blog vous y trouverez principalement les fictions que j’imagine, les nouvelles que j’écris, les poèmes et proverbes que je confectionne. Si un mot ou une phrase vous dérange, n’hésitez pas a me reprendre !

 

 PS : Toutes les fictions, nouvelles, poèmes et proverbes sont issu de mon histoire en tant que fille d’artiste et en tant que lycéenne & d'autre part généralement le narrateur sera Lily Rosabelle BEAULYR, un personnage créer a partir de mon vécu, a vous de choisir si les fictions se suivent ou pas !

 

 PS2 : Je suis une grande fan de Harry Potter et de Twilight, alors nevous inquiétez pas si à la place de mettre une de mes « œuvres », je remplace par un « ARTICLE EXPRESS » sur l’un de ces films !

 PS3: Je suis interne je ne pourrai donc pas mettre d'article durant les semaines.

Bonne Lecture !


 

Dimanche 9 mai 2010 à 21:26

 
http://budding-writer.cowblog.fr/images/24plap10.jpg









"Parce que Toi
tu es un peu de Moi,
et que sans Toi,
Je ne suis plus vraiment Moi..."
















Budding-Writer

Dimanche 9 mai 2010 à 21:31

 http://budding-writer.cowblog.fr/images/dry.jpg"Tu m'as aidé a avancer,
 Tu m'as aidé a grandir,



 
 Maintenant reste,
 Pour m'éviter de souffrir."








Budding-Writer

Dimanche 9 mai 2010 à 21:40

 Ne me cherchez plus,
Je suis perdue
Perdue dans mes pensées qui ne seront jamais dévoilé.
Un rêve de brisé,
Et voilà que quelques pensées se créer,
Inventées par moi,
Pour moi, 
Pour me faire plaisir,
Pour m'éviter de souffrir.

http://budding-writer.cowblog.fr/images/penseespourtoimonange.jpg

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